Observatoires et liens utiles
SIDEFOP AGEFMA : Système d'Information Décisionnel Emploi Formation Orientation Professionnelle https://sidefop.agefma.mq
AGEFMA : Carif-Oref de Martinique http://www.agefma.mq
Quel bilan du dispositif « Prépa apprentissage » ? Rapport transversal des monographies de projets dans les régions Ile-de-France, Centre-Val de Loire, Normandie et La Réunion, Nouvelle-Aquitaine, Pays-de-la-Loire, Bretagne et Martinique ?
Producteur : AFDAS
Cette étude a été réalisée dans le cadre de l'Engagement de Développement de l‘Emploi et des Compétences (EDEC) Culture, Création, Communication, Sport et Tourisme, accord conclu entre les représentants des secteurs concernés, le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, le ministère de la Culture, le ministère chargé des Sports et l’Afdas. Le volet présenté ici représente les données sur la Martinique.
En février 2019, sept mois après leur sortie d’un centre de formation d’apprentis, 73 % des jeunes ayant suivi des études de niveau CAP à BTS ont un emploi. Ce taux d’insertion est en hausse de 1 point par rapport à l’année précédente, soit un rythme plus faible que les quatre dernières années. Parmi les jeunes en emploi, un peu moins de la moitié travaille dans l’entreprise formatrice. Quel que soit le niveau de formation, sortir du système éducatif après avoir obtenu le diplôme préparé demeure déterminant pour l’insertion des jeunes. L’écart des taux d’insertion selon ce critère est en moyenne de 15 points : 76 % des sortants diplômés sont en emploi contre 61 % des jeunes sortis en année terminale d’un cursus sans obtenir le diplôme.
Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche est une publication annuelle éditée depuis 1984. Elle fournit, en un seul volume, toute l'information statistique disponible sur le fonctionnement et les résultats du système éducatif. Elle comprend également un aperçu synthétique des principales données sur la recherche française. Elle présente un volet spécifique sur la France d'Outre-mer.
Au 31 décembre 2018, les centres de formation d’apprentis accueillent 448 100 apprentis, soit une hausse de 4,2 % par rapport à 2017.
Producteur : Ministère de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation.
Fin 2014, les ressources mensuelles des étudiants de 18 à 24 ans s’élèvent en moyenne à 650 euros. Ces ressources sont pour plus de la moitié constituées de l’aide des parents : 92 % des étudiants reçoivent une aide régulière de leur part, de 380 euros en moyenne.
Le vingtième siècle a vu une forte croissance du nombre d’étudiantes : largement minoritaires en début de siècle, elles ont dépassé les hommes en volume dans les années 1970. Désormais, 57% des étudiants à l’université sont des femmes. Elles représentent plus de la moitié des étudiants en licence et en master, mais elles sont minoritaires dans les formations sélectives telles que les DUT, les écoles d’ingénieurs, les classes préparatoires aux Grandes Ecoles.
Au 31 décembre 2015, les centres de formation d'apprentis accueillent 405 200 apprentis, soit une stabilité par rapport à 2014 (-0,2%). Le poids de l'apprentissage parmi les 16-25 ans remonte de 0,2 points.
Le dispositif de Validation des Acquis d’Expérience est mis en place en Martinique depuis plus de 10 ans. Il a été progressivement assimilé dans le paysage de la formation professionnelle et a permis à de nombreuses personnes de faire valoir leur expérience dans le secteur Sanitaire et Social afin d’obtenir le diplôme d’Etat correspondant. Cette étude a eu pour objectif de présenter une photographie des candidats et de leur parcours, mais également d’analyser les obstacles rencontrés et de proposer des solutions d’accompagnement adaptées.
Que sont devenus les 369 000 jeunes sortis de l’enseignement supérieur en 2010, avec ou sans diplôme ? Pour y répondre, le Céreq a analysé les trois premières années de vie active de ces jeunes de la Génération 2010, interrogés en 2013. Portrait de la génération, socialisation professionnelle, panorama détaillé des conditions d’insertion, évolution des emplois occupés et comparaison entre deux générations (2004 et 2010), telles sont les grandes thématiques de cette nouvelle édition. Elle présente de façon détaillée les trajectoires des jeunes sortants de l’enseignement supérieur en 2010, avec ou sans diplôme. Elle apporte un éclairage original sur la transition des études supérieures à l’emploi.
En 2012, en France, 15 millions de résidents sont titulaires d’un diplôme du supérieur ou en cours d'études supérieures. Les personnes disposant des niveaux de formation les plus élevés sont également les plus nombreuses à quitter, au cours de leur vie, leur région de naissance. Parmi les étudiants et diplômés du supérieur résidant en France, près d'un sur trois vit dans une région différente de celle où il est né, et près d’un sur huit est né à l'étranger. Leur répartition géographique est très variable : entre 25 et 34 ans, plus de la moitié des résidents franciliens est diplômée ou étudiante du supérieur contre moins d'un tiers des résidents corses.
Après trois ans de vie active, les jeunes diplômés de l’enseignement professionnel secondaire en 2010 affichent un taux de chômage de 24 %. La crise heurte frontalement les diplômés de CAP et BEP, venant détériorer encore leur positionnement sur le marché du travail. Sans être épargnés par la crise, les bacheliers technologiques ou professionnels sont nettement moins exposés. À terme, la pertinence du niveau V pourrait ainsi être mise en question.
Chiffres présentés lors des 1ères Assises Régionales de la Formation qui ont eu lieu en décembre 2014.
Chiffres clés sur les stagiaires, les formations proposées, les organismes de formation, les financements, ...
Cette étude s’inscrit dans le cadre des axes de travail de l’Association de Gestion de l’Environnement de la Formation en Martinique (AGEFMA) qui œuvre pour une mise en corrélation de la formation et de l’emploi en Martinique par le biais d’actions diversifiées. L’Observatoire Régionalde l’Emploi et de la Formation (OREF), organe de l’AGEFMA favorise la réflexion anticipatrice et la mise en œuvre de politiques régionales de formation en adéquation avec la réalité du terrain. C’est à ce titre que l’OREF est amené à favoriser l’émergence d’études afin de mieux appréhender le contexte local de l’emploi - formation et d’assurer un suivi et une évaluation des dispositifs mis en place.
Note d'information : Sept mois après leur sortie de formation professionnelle ou technologique, 43 % des lycéens ont un emploi en 2013. La situation de l’emploi est bien moins favorable que celle observée en 2012
En 2012, environ 64 000 dossiers de candidatures à un titre professionnel délivré par un certificateur public ont été jugés recevables à la validation des acquis de l’expérience (VAE). 48 700 candidats se sont présentés devant un jury en vue de l’obtention de tout ou partie d’un titre ou d’un diplôme et, parmi eux, environ 28 700 candidats ont obtenu une validation totale. Ces chiffres sont en baisse par rapport à 2011, alors qu’ils avaient été stables entre 2010 et 2011. Depuis la mise en place du dispositif en 2002, plus de 250 000 personnes ont été certifiées par la voie de la VAE.
L’activité de validation des acquis de l’expérience (VAE) représente 20 800 candidatures à un diplôme technologique ou professionnel délivrés par l’éducation nationale en 2012, dont les deux tiers obtiennent une validation totale du diplôme postulé.
Producteur de donnée : MESDR (Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche)
Le parcours des étudiants en premier cycle est ponctué de réorientations et de redoublements. Ainsi, seul un étudiant sur deux passe directement en deuxième année de licence (un sur quatre redouble et un sur quatre se réoriente ou abandonne ses études supérieures), alors que parmi ceux qui parviennent en troisième année de licence générale, près de sept étudiants sur dix obtiennent le diplôme en un an (neuf sur dix en licence professionnelle). Mais au final, si l’on retient comme définition de l’échec en premier cycle le fait d’être sorti de l’enseignement supérieur sans diplôme, alors le taux d’échec en France est de l’ordre de 19 %, soit dix points de moins que la moyenne de l'O.C.D.E.
Au 31 décembre 2011, les centres de formation d’apprentis accueillent 436 300 apprentis, soit une hausse de 2,4% par rapport à 2010. Cette évolution est la résultante de deux mouvements contraires : la baisse des effectifs d'apprentis dans le secondaire et l’essor de ceux dans le supérieur.
Cette étude a pour objectif de présenter une photographie des acteurs (organismes de formation, organisateurs d’ACM, animateurs), d’analyser l’emploi et la formation, et de proposer des préconisations pour favoriser la professionnalisation de ce secteur.